C’est parti pour la Grande Aventure !!!

23/09/2017 10:44

Tel Armstrong qui avait été le premier homme à poser un pied sur la lune, nous avons posé le notre au Sénégal.

Il était 14 heure lorsque nous nous sommes retrouvés à l’aéroport. Nous étions tous là, un grand sourire plaqué sur le visage et des étoiles dans les yeux. Nous parlions fort et nous rigolions beaucoup en pensant à tout ce qui allait nous attendre là bas, de l’autre côté de la Méditerranée. Après avoir enregistrés nos bagages, lourds à cause des livres et autres lots que nous emmenions avec nous, nous nous dirigeâmes vers le second contrôle. Une fois dans le « duty free » nous avions quartier libre. Mais avant de nous laisser voguer au milieu des magasins de l’aéroport Valou nous rappela le programme et qu’il fallait qu’on se rejoigne à 16h à la porte d’embarquement. Après un point histoire sur le Sénégal, Dakar et l’île de Gorée, ainsi qu’un point hygiène et culture nous embarquâmes dans l’avion.

Après quelques films, musiques, repas et boissons, nous atterrissons enfin … Nous y sommes, après 5h30 de vol, et une longue préparation en amont, nou y sommes. Nous sommes à Dakar. Au sortir de l’avion chacun est pressé, on a le sourire aux lèvres et des rêves plein la tête. Qu’allons nous découvrir dehors, qu’allons nous découvrir après avoir passé les portes ? Comme l’an dernier, ce qui nous surprend en nous retrouvant dehors c’est la chaleur étouffante et l’humilité. Celles-ci nous prennent au corps et modifie notre respiration. Il fait très chaud. Nous avons deux heures de décalage avec la France. Ici il est donc 21h et la chaleur de la journée n’est pas encore redescendue. Après les températures assez basses de Paris pour un mois de septembre, nous avons l’impression de retourner pour un temps au temps des vacances.

Un bus prêté par la fédération sénégalaise de natation nous attendait à l’aéroport. Ça y est c’est parti. Les frimousses collées aux vitres nous traversons Dakar dans la nuit naissante. Les voitures, les maisons, les gens, nous observons tout, avare de tout ce que nous pouvons voire et entendre. Nous finissons par arriver à « La Voile d’or ». C’est un grand hôtel qui donne sur une plage avec quelques palmiers. Le sable est fin et au loin on peut apercevoir l’Île de Gorée en petit. Quand certains se disent « oulalala on va devoir nager jusqu’à tout là-bas ? » d’autres se trouvent juste impatient.

Mais tous, sommes aux anges, dans la chaleur du début de soirée. Nous distribuons les chambres et nous prenons sans faute la malarone. Durant tout notre voyage en avion nous avons couru après le soleil, et ce soir il se couche et nous laisse avec la promesse d’une magnifique journée sous le soleil sénégalais.

A demain pour le récit de notre grande aventure !!!